En septembre, c’est la rentrée, et tout le petit monde des noms de domaine en France se retrouve au NDDcamp pour échanger, parler et réfléchir à notre marché favori.
Ce salon organisé par deux figures historiques du domaining, David Chelly et Philipe Franck, rejoint par Benjamin Louis du .Alsace et Marc Olivier Bernard de la maison d’enchères Boischaut, traite de façon très concrète et sans langue de bois, des sujets du moment. C’est d’après moi le salon où l’on retrouve le plus fort pourcentage de personnes ayant fait à un moment où un autre un bout de chemin avec SafeBrands.
SafeBrands, qui ne manquera pas l’occasion d’aller y porter la bonne parole avec sa casquette de représentant des titulaires de marque, et une vision comme d’habitude très pragmatique : il existe désormais de nouveaux outils pour stopper les abus, s’ils sont avérés, mais il est parfois plus facile de discuter que de tout miser sur les arsenaux juridiques. Fort de cet axiome, toutes les stratégies de nommage sont permises.
Réduire les noms de domaine à une possibilité d’abus ne serait cependant pas juste. Depuis leur introduction dans le monde du commerce en ligne, au siècle dernier, ces identifiants sont passés par tous les états, et ils sont désormais un actif bien reconnu, tout en gardant leur attrait spécial, au croisement entre technique et propriété intellectuelle, le tout arrosé d’un zeste de géopolitique.
SafeBrands participera donc le 13 septembre à Paris à deux tables rondes : l’une sur la Gouvernance mondiale d’Internet et plus particulièrement au rôle et à la position de la France, et la seconde dédiée à l’étude des enjeux de la création d’une marque et ses implications, quand on la transpose à une identité digitale dans un monde de plus en plus fractionné, entre Internet monde physique, et Web3.0.
Notre discours et notre conseil auprès de nos clients a évolué de au fil du siècle dernier, car nous tenons à conseiller des actions possibles et réalistes, pour coller aux contraintes des responsables PI, aux juristes d’entreprises, aux DSI soucieuses de leur réputation. Et nous vous en donnerons la version automne 2024.
Dans une industrie qui favorise de plus en plus le paiement pour bloquer des noms plutôt que pour en réserver, on assiste à des changements de tendances, voire des ralentissements du nombre d’enregistrements des .com pendant que l’importance des extensions nationales augmente.
Matthieu Aubert participera à la table ronde “Nouveaux enjeux de la création de marque” et moi-même à celle dédiée aux “‘Actualités réglementaires de la rentrée 2024” , autour de personnalités de tous les bords, et si vous souhaitez assister à celle-ci nous vous invitons à vous inscrire au NDDcamp ici
Cela pourrait être le moment de se demander quoi faire de ses vieux noms de domaine quand on change de marque ? Doit-on les abandonner, les garder à vie pour se protéger d’un abus, ou bien les vendre aux enchères pour récolter les fonds permettant de financer la nouvelle marque ? Ces questions, vous pourrez les poser, et même partager votre expérience, car un micro circulera.
On pourrait même évoquer la fin de l’hégémonie du .com ou au contraire l’atteinte de l’apogée de la valeur d’un bon .com. Avec une baisse de 0.7% de volume en 2023 versus 2022, on se retrouve dans une situation inédite, et on peut s’interroger sur la marche à suivre, que l’on soit domainer ou simplement à la recherche d’un bon nom.
Nous sommes sponsor de l’événement, et nous nous ferons un plaisir de vous rencontrer sur place. Autour d’un café, nous pourrons aussi vous parler de nos évolutions d’outils comme le lancement de notre nouvel extranet, sur lequel déjà 10 % de nos clients évoluent. Il s’agit aussi d’une évolution très attendue et qui s’accélère, pour se finir, nous l’espérons, fin septembre. Un seul portail pour gérer tous les produits de votre portefeuille, du SSL à la surveillance, en passant par votre portefeuille de noms : nous y voilà.
Nous sommes également ravis de mettre à votre disposition une connexion à un annuaire d’entreprise et une API encore plus intégrée pour gérer de façon intégrée vos éditions de fichiers de zone. Ces évolutions se basent sur l’architecture de notre société sœur, Key-Systems, et la solidité de leur outil qui gère plusieurs millions de noms de domaine pour les principaux registrars d’Europe.
Les changements ne sont pas finis, et nous vous réservons encore quelques surprises à venir !